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Université de Sétif I


Université de Sétif I
Le corps enseignant de l'université Sétif I, plus connue sous le nom université Ferhat Abbès, est une nouvelle fois ébranlé par l'histoire des 70 appartements d'un certain standing. N'ayant rien à voir avec les critères édictés par la tutelle, les «conditions» d'attribution imposées par l'ex-recteur convoitant lui aussi un F4 en sont les causes.«Faisant fi des critères arrêtés par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, l'ex-recteur combine avec un chef de service du ministère, nous imposant des critères, contredisant ceux établis par la tutelle en collaboration avec les syndicats et partenaires sociaux du secteur. Oubliant qu'il s'agit de logement de fonction incessible, l'ex-recteur, qui se transforme en enquêteur, a voulu avoir un aperçu sur les biens individuels d'une catégorie d'enseignants.A la veille de son départ, l'ex-recteur, qui n'a déposé aucune demande de logement, inscrit son nom et prend le procès-verbal, sans la signature des membres de la commission. Pour mettre un terme à ces pratiques d'une époque révolue, on exige non seulement l'intervention du ministre, mais un droit de regard sur les biens de l'ex-recteur n'ayant pas statutairement le droit de présider un dossier aussi sensible», fulminent des jeunes professeurs et docteurs qui tiennent à dénoncer une injustice ne disant pas son nom.«Après la fameuse histoire du négatif inhérent aux 200 logements, l'ex-recteur, qui ne manque pas d'idées nous ressort une histoire à dormir débout. Trouvez-vous normal qu'un professeur d'université passe, en 2014, son temps à courir derrière un logement, de fonction de surcroît », s'interrogent nos interlocuteurs.




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