TISSEMSILT

Certains habitants de Tissemsilt et dès que des événements commencent à faire le tour de la ville, saisissent l'occasion notamment par voie de presse pour dénoncer les anomalies et manifestent leur crainte et leur inquiétude quant aux répercussions sur leurs quotidiens, et d'autres l'appréhendent avec un mécontentement et un désappointement tout juste à la limite du tolérable du fait que leurs quartiers ou leurs cités manquent encore de certaines commodités. En effet, les habitants du lotissement des 132 logements tout comme ceux du lotissement qui fait face ainsi que les usagers de la double voie qui mène de l'ex siège des galeries à la cité des 165 lots communément appelée « El Mardja » s'impatientent de voir un jour leurs quartiers bénéficier eux aussi des opérations de réhabilitation et de nettoyage comme c'était le cas pour d'autres quartiers. Les habitants dénoncent le fait que les responsables n'ont pas bougé le petit doigt pour prendre des décisions fermes concernant les lots de terrains distribués depuis une vingtaine d'années et non encore construits par leurs propriétaires et au milieu de cette situation qui n'échappe surement pas aux responsables, on ne sait pas de quelle manière ils se sont tirées d'affaire en laissant derrière, un décor défiguré et des routes défoncées transformées en décharges sauvages qui nécessitent une intention particulière, puisque ces lots se trouvent maintenant entouré d'autres constructions homogènes et aménagées, l'urbanisme est aussi la lutte contre ces parcelles de terrain non construites, certains sont même allés à dire que cet état de fait est motivé par le fait que les propriétaires qui se sont accaparés ces lots ne visent que la revente avec ce que rapporte de nos jours un lopin de terre, une lutte contre ces maquignons du foncier est vivement souhaitée notamment avec le nouveau wali qui visiblement avait déclaré la guerre à ce genre de dysfonctionnements qui salie l'image de l'administration au niveau de Tissemsilt.