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Tébessa
Cela fait plus de trois ans que le problème du manque de spécialistes en gynécologie persiste à la maternité à l'hôpital Tidjani Haddam de Bir El ater surtout pour les cas les plus vulnérables précisément les césariennes où il est recours aux clinique privées avec des prix exorbitants ou aux évacuations vers les hôpitaux des autres wilayas.Alors que d'autres femmes issues notamment de familles démunies recourent à l'accouchement traditionnel. Elles font appel à ce qu'on appelait autre fois «Kabla». Le cas du jeune Halim habitant dans une localité au sud de la wilaya est éloquent «Après que ma femme ait passé plus d'une semaine à l'hôpital sans résultat on m'a orienté vers une clinique privée où une opération césarienne coute les yeux de la tête. A cause du manque de moyens, j'étais obligé de recourir à la femme la plus sage du douar pour accoucher ma femme. Actuellement elle s'est complètement rétablie et la petite va très bien».Cet établissement sanitaire qui fonctionne qu'avec des sages femmes avait ouvert ses portes rappelons le pour les patients après une longue durée d'arrêt de son projet, représente l'un de plus important pole sanitaire.En effet, il reçoit les malades des communes du sud de Tébessa. Lors de sa visite à Tébessa, le ministère de la santé, la population et la reforme hospitalière Abdelmalek Boudiaf avait promis de renforcer le secteur de la santé de la wilaya avec 24 spécialistes sur les hôpitaux de la wilaya. Jusque là seulement un neurologue et un urologue seraient en activité. Devant cette situation qui ne cesse d'empirer et malgré les gros moyens destinés au secteur. Il reste le plus névralgique.


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