Algérie - A la une



Son crime
déterminés à poursuivre des violations inhumaines contre une population sans défense. Ce qui se passe à Ghardaia pourrait se reproduire probablement et sans aucun doute dans n'importe quelle ville du pays.Une justice à la dérive. On le voit bien de la lecture de notre droit constitutionnel et de notre code pénal faite par certains de nos juges. Je ne cite à ce propos que des exemples concrets observés et vérifiables à travers les jugements rendus. Le juge condamne la victime à la place de l'auteur du délit et cela même si les preuves de sa culpabilité ne sont pas établies il prend subjectivement partie pour l'une contre l'autre.La condamnation de Youcef illustre de manière flagrante un parti-pris net du juge en faveur de la partie adverse (la police). En appel que même la décision de la Cour qui reflète un allègement en faveur de l'accusé, mais le tient toujours coupable.Comme dans ce cas et dans d'autres, en suivant de prés le dossier de la victime, en lisant ses correspondances administratives et judiciaires, on s'aperçoit que certains juges tant au niveau des tribunaux que de la Cour ne sont là que pour exécuter la volonté du plus fort.Nous sommes profondément convaincus et depuis bien longtemps que le système ne changera pas et que seule la conquête de la rue par l'ensemble du peuple toutes sensibilités confondues mettra fin au système illégitime et autoritaire.Nous condamnons cette décision de justice aveugle et arbitraire. Nous exigeons la libération de notre ami Ould Dada Youcef.Hadj Mohamed SMAINMilitant des Droits de l'HommeMembre fondateur du Congrès du Changement démocratique (CCD).* facebook* twitter


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