RELIZANE

Les locataires de la cité des 600 logements sise dans la région Chemirik au chef-lieu de la wilaya de Relizane interpellent le chef de l'exécutif de la wilaya afin d'adopter leurs revendications déjà exprimées depuis l'inauguration en 2004 de cette cité.Entre autres, les habitants énumèrent une liste de revendications liées à l'absence d'un centre de santé adéquat pour pouvoir prendre en charge le côté médical, plus des problèmes liés à la défection de toutes les routes qui ne sont plus valables, notamment durant la chute des pluies. Cette cité éprouve aussi un besoin d'espaces verts qui n'existent pas, l'éclairage public fait aussi défaut dans la cité, ce qui veut dire que la vie publique cesse après le coucher du soleil et bien évidemment cela constitue une ambiance positive aux agissements nuisibles à la société par les malfaiteurs. A cette armada de difficultés, il faut rajouter ces odeurs nauséabondes qui de dégagent de ces écuries d'élevage de volaille mais aussi bovin et ovin étant donné que cet endroit se situe tout juste à la limite Est de la frontière du chef-lieu ce qui encourage des étrangers venus des communes jouxtant Relizane pour s'installer dans le plus grand foyer des bidonvilles où résident plus de 1500 familles (hai Zergaoui). A vrai dire, les problèmes plus cités ne sont pas spécifiques à la cité Chemirik mais c'est un dilemme qui concerne pratiquement toutes les cités réalisées durant les dix dernières années que ce soit à 1026 à Bermadia ou à l'autre cité des 600 logements dans la cité «Baolo » où ailleurs dans tous ces lieux nous constatons que le côté environnement est le dernier maillon qui manque et auquel les responsables n'y songent même pas et que l'essentiel c'est de caser les familles et c'est tout.