On vous le dit

- Pic de chaleur à ChlefUne chaleur extrême accompagnée d'un vent chaud affecte la région de Chlef, où le thermomètre à l'ombre à dépassé les 43°. Le centre-ville de la wilaya s'est vidé de ses habitants, donnant l'aspect d'une ville morte surtout durant la journée. Une femme, victime d'une insolation avant-hier, s'est évanouie au centre-ville et a été évacuée vers le service des urgences de l'hôpital local, a-t-on appris, hier, auprès du service de communication de la protection civile.Notre source précise qu'hormis ce cas, aucune victime n'a été enregistrée suite à cette importante vague de chaleur qui touche la vallée du Cheliff depuis lundi. Il s'agit, dit-on, d'un phénomène climatique exceptionnel, pour lequel la direction de la Protection civile a mobilisé toutes ses unités d'intervention implantées à travers la wilaya. Même mobilisation du côté des unités hospitalières, dont le personnel médical et paramédical est sur le qui-vive afin de faire face à toute éventualité.- Une Bourse des déchets !Les déchets des uns peuvent devenir la matière première des autres. Voilà un slogan qui peut apporter un plus à l'environnement et à l'économie nationale s'il est bien concrétisé sur le terrain. Une chose est sûre, la Bourse des déchets vient d'être créée en Algérie et s'inscrit dans cette logique économico-verte !Lancée par le ministère de l'Environnement, il s'agit d'une plateforme électronique (Internet) destinée à faciliter la mise en relation entre les détenteurs de déchets et les valorisateurs. Ayant comme administrateur l'Agence nationale des déchets (AND), elle permet de diffuser des annonces d'offres et de demandes de déchets à valoriser (réutilisation, recyclage matière ou valorisation énergétique).A moyen terme, cela permettra aux industriels et aux investisseurs d'explorer de nouvelles opportunités et d'identifier de nouveaux partenaires. Pour plus de détails, contacter cette Bourse via l'adresse suivante : bourse@and.dz- Un entrepreneur délesté de 50 millions de centimesA sa sortie d'une banque située dans une aile de l'avenue Bendaïkha Mouloud de Sétif où les voleurs «accentuent» leurs méfaits en ce mois sacré, un entrepreneur a été, lundi dernier, délesté de 50 millions de centimes. Ce montant représente sans nul doute une partie de la solde des travailleurs de l'entreprise.Etudiant bien leur coup, les voleurs, qui n'en sont pas à leur premier forfait, attendent la fin du mois pour commettre leur délit. Notons qu'à la même période de l'année dernière, une bande de 8 individus ayant écumé l'endroit précité où ils ont «piqué» 100 millions de centimes à un opérateur économique a été démantelée par les services de sécurité.- La «trouvaille» d'Actel Bab EzzouarPour contraindre les clients à honorer leurs factures téléphoniques impayées, l'agence Actel de Bab Ezzouar n'a rien trouvé d'autre que de leur couper la connexion internet, et ce, bien que celle-ci étant encore en cours de validité ! Devant le mécontentement des clients qui ne comprennent pas que les deux abonnements, qui sont de nature commerciale différente, soient liés l'un à l'autre, l'agent d'Actel leur a répondu que c'était «une décision de la DG». Or, il semblerait que ce cas de «vente concomitante» à l'envers ne se pose pas dans les autres agences.- Feu vert pour un gratte-ciel en forme de pyramide à ParisAprès la Tour Eiffel et la Tour Montparnasse, un gratte-ciel de 180 m et en forme de pyramide va voir le jour àParis : le Conseil de la ville a approuvé mardi sa construction, première de ce type en plus de 40 ans dans la capitale française. Le projet controversé de la Tour Triangle, porté par la maire socialiste Anne Hidalgo, qui avait été rejeté en novembre par l'assemblée parisienne, a finalement été adopté avec quelques modifications et grâce au revirement de plusieurs députés de droite et du centre.«C'est l'épilogue heureux d'un grand projet pour Paris», a déclaré Mme Hidalgo, qui s'est réjouie que le «tabou» de la hauteur ait été levé. «Je ne conduirai pas la politique de mon homologue à Londres, avec plus de 300 tours le long de la Tamise», a-t-elle cependant assuré.Paris avait limité les hauteurs des nouveaux immeubles à 37 m au lendemain de la polémique soulevée en 1973 par l'érection de la Tour Montparnasse, dont les 210 m dominent un paysage urbain horizontal ? à l'exception de la Tour Eiffel (301 mètres) ?, hérité pour une large part du XIXe siècle.