Naâma

Àgé d'une douzaine d'années, un élève de troisième année moyenne a été durement frappé par son enseignant dans la cour de récréation. L'enfant a reçu le coup près du bas-ventre.Un acte de maltraitance dont les conséquences n'ont pas été mesurées et qui, heureusement, n'a pas atteint les parties sensibles du jeune adolescent. Ayant appris cela, le père dépité a déposé une plainte pour violence sur son enfant. Grâce à des témoignages recueillis çà et là sur ce sujet, il s'est avéré que cet enseignant, professeur de sport, traite souvent ses élèves avec très peu d'égard.Un élève de cette même classe nous a appris qu'une fois, ce professeur indélicat a cassé les lunettes d'un de ses élèves en lui donnant une gifle et qu'une autre fois, il a donné un violent coup de pied à la cuisse d'un autre enfant. Cet enseignant n'a jamais été sanctionné par sa direction. Suite à cette plainte, l'enseignant, accompagné de plusieurs personnes, a eu l'outrecuidance de venir demander pardon aux parents de la victime. Rappelons que les châtiments corporels sont longtemps interdits par la règlementation du système éducatif.