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Maroc
La Fédération internationale des droits de l'Homme (FIDH) et le Groupe antiraciste d'accompagnement et de défense des étrangers et des migrants (Gadem) dressent lundi 30 mars un premier bilan de la nouvelle politique migratoire du Maroc, en soulignant les décalages entre attentes et réalisations, entre le discours et la réalité.En septembre 2013, le Maroc lançait une nouvelle politique migratoire, fondée sur un rapport du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) qui s'appuyait sur quatre volets : «La situation des réfugiés et des demandeurs d'asile, les étrangers en situation administrative irrégulière, les étrangers en situation régulière et la lutte contre la traite des personnes.» Le parcours du combattant Le tournant qui a surtout marqué les esprits a été l'annonce d'une opération exceptionnelle de régularisation des migrants sans papiers, qui s'est déroulée tout au long de l'année 2014. Le gouvernement, dans une circulaire publiée le 16 décembre 2013, énonçait les catégories de bénéficiaires : conjoints de Marocains ou conjoints d'autres étrangers en résidence régulière au Maroc, et leurs enfants, étrangers disposant de contrats de travail effectifs, étrangers justifiant de cinq ans de résidence continue, étrangers atteints de maladies graves.


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