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Les trois disparus n'ont toujours pas été retrouvés


Les trois disparus n'ont toujours pas été retrouvés
L'opération de recherche au niveau du barrage de Taksebt, à quinze kilomètres au sud-est du chef-lieu de la wilaya de Tizi Ouzou, s'est poursuivie hier dimanche en présence du directeur général de la Protection civile Mustapha Lahbiri, qui s'est déplacé sur les lieux dans l'après- midi.L'opération de recherche au niveau du barrage de Taksebt, à quinze kilomètres au sud-est du chef-lieu de la wilaya de Tizi Ouzou, s'est poursuivie hier dimanche en présence du directeur général de la Protection civile Mustapha Lahbiri, qui s'est déplacé sur les lieux dans l'après- midi.Les trois personnes qui occupaient le véhicule ayant dérapé samedi dernier sur la RN 30 reliant les Ouadhias à Tizi Ouzou n'ont toujours pas été retrouvées en dépit des intenses recherches en cours au sein du barrage de Taksebt depuis quarante-huit heures.Des sources proches des éléments de la Protection civile participant à l'opération de recherche expliquent même que l'espoir de retrouver les corps de ces victimes s'aménuisent de plus en plus car, d'après les mêmes sources, il est pratiquementimpossible aux plongeurs de laProtection civile d'effectuer des recherches sous une profondeur de plus de quarante mètres. De même que l'eau d'un barrage est beaucoup plus difficile d'accès que cellle de la mer.Aussi, le barrage de Taksebt est actuellement rempli à cent pour cent, ce qui rend encore les recherches davantage complexes. Même le véhicule à bord duquel circulaient les victimes de cet accident dramatique, le premier du genre à la lisière du barrage de Taksebt, n'a pas été retrouvé non plus. Selon les témoignages recueillis sur place, le nombre d'oocupants du véhicule ayant fait l'accident était d'au moins trois personnes. Quant à la voiture, elle est de marque Kia Sorento. Jusqu'à hier à 15 h 30, aucune évolution de la situation n'a été enregistrée.Les proches et les membres des familles des victimes étaient sur place et avaient l'air complètement anéantis par ce drame. Il y a lieu de noter que les recherches se font en présence des autorités locales. Même le wali de Tizi Ouzou,Abdelkader Bouazgh, a fait le déplacement et a supervisé personnellement l'opération en question. De son côté, Mustpaha Lahbiri, Directeur général de la Protection civile, est arrivé en milieu d'après-midi. Notons que le nombre d'accidents de la circulation ne cesse de progresser dans la wilaya de Tizi Ouzou avec des pics allant parfois jusqu'à dix accidents par jour.La route la plus touchée est en revanche la RN 12 où il ne se passe pas un jour sans qu'un ou plusieurs accidents de la route s'y produisent. Un bilan partiel rendu public hier par la cellule de communication de la sûreté de wilaya de Tizi Ouzou parle de 21 accidents enregistrés ces derniers jours avec l'enregistrement de 22 blessés ainsi que de plusieurs décès.La sonette d'alarme est à chaque fois tirée mais la seule solution qui s'impose est que des lois beaucoup plus strictes et sévères soient mises en place avec des sanctions allant jusqu'à un retrait de permis définitif pour dissuader les conducteurs à rouler trop vite et afin de leur imposer un respect strict du code de la route qui fait cruellement défaut. Autrement, l'hécatombe sur les routes sera loin de connaitre sa fin. Et dans la majorité des cas, ce sont des jeunes qui y laissent leur vie.Les trois personnes qui occupaient le véhicule ayant dérapé samedi dernier sur la RN 30 reliant les Ouadhias à Tizi Ouzou n'ont toujours pas été retrouvées en dépit des intenses recherches en cours au sein du barrage de Taksebt depuis quarante-huit heures.Des sources proches des éléments de la Protection civile participant à l'opération de recherche expliquent même que l'espoir de retrouver les corps de ces victimes s'aménuisent de plus en plus car, d'après les mêmes sources, il est pratiquementimpossible aux plongeurs de laProtection civile d'effectuer des recherches sous une profondeur de plus de quarante mètres. De même que l'eau d'un barrage est beaucoup plus difficile d'accès que cellle de la mer.Aussi, le barrage de Taksebt est actuellement rempli à cent pour cent, ce qui rend encore les recherches davantage complexes. Même le véhicule à bord duquel circulaient les victimes de cet accident dramatique, le premier du genre à la lisière du barrage de Taksebt, n'a pas été retrouvé non plus. Selon les témoignages recueillis sur place, le nombre d'oocupants du véhicule ayant fait l'accident était d'au moins trois personnes. Quant à la voiture, elle est de marque Kia Sorento. Jusqu'à hier à 15 h 30, aucune évolution de la situation n'a été enregistrée.Les proches et les membres des familles des victimes étaient sur place et avaient l'air complètement anéantis par ce drame. Il y a lieu de noter que les recherches se font en présence des autorités locales. Même le wali de Tizi Ouzou,Abdelkader Bouazgh, a fait le déplacement et a supervisé personnellement l'opération en question. De son côté, Mustpaha Lahbiri, Directeur général de la Protection civile, est arrivé en milieu d'après-midi. Notons que le nombre d'accidents de la circulation ne cesse de progresser dans la wilaya de Tizi Ouzou avec des pics allant parfois jusqu'à dix accidents par jour.La route la plus touchée est en revanche la RN 12 où il ne se passe pas un jour sans qu'un ou plusieurs accidents de la route s'y produisent. Un bilan partiel rendu public hier par la cellule de communication de la sûreté de wilaya de Tizi Ouzou parle de 21 accidents enregistrés ces derniers jours avec l'enregistrement de 22 blessés ainsi que de plusieurs décès.La sonette d'alarme est à chaque fois tirée mais la seule solution qui s'impose est que des lois beaucoup plus strictes et sévères soient mises en place avec des sanctions allant jusqu'à un retrait de permis définitif pour dissuader les conducteurs à rouler trop vite et afin de leur imposer un respect strict du code de la route qui fait cruellement défaut. Autrement, l'hécatombe sur les routes sera loin de connaitre sa fin. Et dans la majorité des cas, ce sont des jeunes qui y laissent leur vie.




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