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Les prix des moutons continuent de grimper



Les prix des moutons continuent de grimper
L'Aïd el-Adha approche à grands pas. En effet cette célébration aura lieu dans moins d'un mois aujourd'hui. La plupart des familles musulmanes sacrifient un mouton à l'occasion de cette fête religieuse, pour respecter la tradition et la sunna. Néanmoins à moins d'un mois de l'Aïd, les prix des moutons continuent à grimper.L'Aïd el-Adha approche à grands pas. En effet cette célébration aura lieu dans moins d'un mois aujourd'hui. La plupart des familles musulmanes sacrifient un mouton à l'occasion de cette fête religieuse, pour respecter la tradition et la sunna. Néanmoins à moins d'un mois de l'Aïd, les prix des moutons continuent à grimper.Les prix sont si élevés que probablement plusieurs familles aux revenus moyens passeront certainement un Aïd sans sacrifice. Une virée auprès de quelques vendeurs, permet de constater les prix proposés à Alger et à Tizi-Ouzou. On a constaté que les prix connaissent une hausse fulgurante, tout comme durant les années précédentes. Et ce, vu, l'énorme engouement de nos concitoyens, pour la fête du sacrifice.Selon ces vendeurs et aussi certains citoyens qui se sont rendus dans les marchés, le prix d'un mouton ordinaire n'est pas inférieur à 30.000 DA. De nombreuses personnes ont exprimé une grande déception quant à la spéculation qui touche aussi le prix du bétail, dès l'approche de l'Aïd qui n'est plus qu'à quelques semaines seulement.Ces vendeurs justifient, en fait les dessous des marchés à bestiaux. Ils affirment que la disponibilité des moyens de transport fait que jusqu'à 70% des moutons proposés à la vente à l'occasion de la fête de l'Aïd El-Adha ramenés dans le nord du pays, se répercute directement sur les prix. Des habitués de ce genre de marchés, soutiennent également que les intermédiaires qui procèdent, peu avant la fête de l'Aïd El-Adha, à l'achat des cheptels pour les placer dans des étables et des hangars dans les grandes villes du pays, "influent" le prix des bêtes et le font grimper.L'on affirme aussi que les intermédiaires ne négocient même pas le prix des bêtes, préférant les embarquer le plus rapidement possible, convaincus que tout sera vendu et que la marge bénéficiaire est assurée. C'est l'amer constat que tout le monde peut faire. Dans ce contexte, des maquignons approchés, eux-mêmes, ont confirmé la cherté du cheptel cette année. Il faut reconnaître que c'est "une saignée budgétaire de plus pour les ménages, déjà ruinés par les évènements successifs, à savoir le mois de Ramadhan et la rentrée scolaire".Les prix sont si élevés que probablement plusieurs familles aux revenus moyens passeront certainement un Aïd sans sacrifice. Une virée auprès de quelques vendeurs, permet de constater les prix proposés à Alger et à Tizi-Ouzou. On a constaté que les prix connaissent une hausse fulgurante, tout comme durant les années précédentes. Et ce, vu, l'énorme engouement de nos concitoyens, pour la fête du sacrifice.Selon ces vendeurs et aussi certains citoyens qui se sont rendus dans les marchés, le prix d'un mouton ordinaire n'est pas inférieur à 30.000 DA. De nombreuses personnes ont exprimé une grande déception quant à la spéculation qui touche aussi le prix du bétail, dès l'approche de l'Aïd qui n'est plus qu'à quelques semaines seulement.Ces vendeurs justifient, en fait les dessous des marchés à bestiaux. Ils affirment que la disponibilité des moyens de transport fait que jusqu'à 70% des moutons proposés à la vente à l'occasion de la fête de l'Aïd El-Adha ramenés dans le nord du pays, se répercute directement sur les prix. Des habitués de ce genre de marchés, soutiennent également que les intermédiaires qui procèdent, peu avant la fête de l'Aïd El-Adha, à l'achat des cheptels pour les placer dans des étables et des hangars dans les grandes villes du pays, "influent" le prix des bêtes et le font grimper.L'on affirme aussi que les intermédiaires ne négocient même pas le prix des bêtes, préférant les embarquer le plus rapidement possible, convaincus que tout sera vendu et que la marge bénéficiaire est assurée. C'est l'amer constat que tout le monde peut faire. Dans ce contexte, des maquignons approchés, eux-mêmes, ont confirmé la cherté du cheptel cette année. Il faut reconnaître que c'est "une saignée budgétaire de plus pour les ménages, déjà ruinés par les évènements successifs, à savoir le mois de Ramadhan et la rentrée scolaire".


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