Les malades racontent leur guérison

Un jeune de Djelfa a tenu à  raconter l'histoire de son grand-père âgé de 68 ans. «Mon grand-père souffrait d'un problème au niveau d'un œil. Il n'arrivait pas à  l'ouvrir. Après l'ouverture de l'hôpital, il a subi une chirurgie d'oculoplastie. Depuis ce jour, sa vie a complètement changé. Même nous, membres de sa famille nous avons été surpris de le voir ouvrir ses deux yeux comme une personne ordinaire. C'est un véritable miracle». Une dame habitant dans le grand sud a connu la même joie après une intervention chirurgicale subie à  l'hôpital de Djelfa. Elle narre son récit avec des mots simples. Elle jure par tous les saints qu'elle ne se rend pas compte qu'elle peut désormais pleurer à  nouveau. «Un voisin avait conseillé à  mon fils de me prendre un rendez-vous à  l'hôpital. N'ayant rien à  perdre, nous avons tenté l'aventure dans l'espoir que je guérisse enfin de ma maladie. En effet, mon problème c'est que mes yeux n'arrivaient pas à  verser la moindre gouttelette de larme », se rappelle-t-elle. Avant d'ajouter : «après m'avoir auscultée, les médecins m'ont expliqué que mon cas nécessitait une intervention chirurgicale. Au bout du compte je suis guérie et j'en pleure de joie depuis ». Souffrant d'un strabisme, une jeune lycéenne de Boussaâda, âgée à  peine de 18 ans, ne tarit pas d'éloges sur l'équipe médicale qui l'a prise en charge lors de son séjour à  l'hôpital. «Le strabisme m'a vraiment rendue complexée. Ma maladie me pourrissait la vie. Le résultat est là. Je ne suis plus complexée et je ne remercierai jamais assez les médecins qui m'ont soignée», tient-elle à  dire. Des histoires pareilles, il en existe par milliers ici à  Djelfa. Manifestement, les malades souffrant des yeux peuvent espérer trouver remède dans l'un des hôpitaux ophtalmologiques de l'amitié Algérie-Cuba.