Les accidents en constante augmentation

Le « terrorisme » routier continue de sévir à travers toutes les régions du pays. Quatre vingt seize (96) personnes ont trouvé la mort et 991 autres ont été blessées dans 473 accidents de la route, enregistrés durant la période allant du 22 au 28 septembre au niveau national, indique, mercredi, un bilan de la Gendarmerie nationale.Le « terrorisme » routier continue de sévir à travers toutes les régions du pays. Quatre vingt seize (96) personnes ont trouvé la mort et 991 autres ont été blessées dans 473 accidents de la route, enregistrés durant la période allant du 22 au 28 septembre au niveau national, indique, mercredi, un bilan de la Gendarmerie nationale.Selon la même source, les accidents de la route ont augmenté de 12,35% (59 de plus), les décès de 33,33 % (+24) et les blessés de 20,56 % (+169) par rapport à la période précédente. La wilaya de M'sila arrive en tête avec 27 accidents suivie des wilayas d'Alger et de Sétif avec 24 accidents, Relizane avec 19 accidents et les wilayas de Bouira et de Constantine avec 18 accidents. C'est l'hécatombe sur nos routes qui se sont transformées en cimetières à ciel ouvert en dépit d'un code de la route des plus durs à l'égard des contrevenants.La campagne de sensibilisation sur notamment les conséquences de l'excès de vitesse et des dépassements dangereux n'a rien fait pour réduire ces accidents de la route. Les raisons principales de cette hécatombe ne sont pas à chercher dans l'état du parc automobile national ou du réseau routier, mais dans la banalisation d'une conduite suicidaire qui ignore tout respect du code de la route. L'élément humain demeure en effet le principal facteur des accidents de la route pour des raisons qui restent selon toujours la même source liées à l'excès de vitesse, l'état des véhicules et l'insouciance des piétons. Les accidents de la route engendrent des pertes estimées annuellement à plus de 100 milliards de dinars en matière de dégâts matériels et de frais d'assurances. Environ 4000 victimes qui rejoignent les rangs des handicapés sont enregistrées par année. Le durcissement des mesures disciplinaires et les sanctions n'ont jamais été la solution idéale. Qu'est-ce qu'il y a lieu alors de faire devant un tel constat d'échecSelon la même source, les accidents de la route ont augmenté de 12,35% (59 de plus), les décès de 33,33 % (+24) et les blessés de 20,56 % (+169) par rapport à la période précédente. La wilaya de M'sila arrive en tête avec 27 accidents suivie des wilayas d'Alger et de Sétif avec 24 accidents, Relizane avec 19 accidents et les wilayas de Bouira et de Constantine avec 18 accidents. C'est l'hécatombe sur nos routes qui se sont transformées en cimetières à ciel ouvert en dépit d'un code de la route des plus durs à l'égard des contrevenants.La campagne de sensibilisation sur notamment les conséquences de l'excès de vitesse et des dépassements dangereux n'a rien fait pour réduire ces accidents de la route. Les raisons principales de cette hécatombe ne sont pas à chercher dans l'état du parc automobile national ou du réseau routier, mais dans la banalisation d'une conduite suicidaire qui ignore tout respect du code de la route. L'élément humain demeure en effet le principal facteur des accidents de la route pour des raisons qui restent selon toujours la même source liées à l'excès de vitesse, l'état des véhicules et l'insouciance des piétons. Les accidents de la route engendrent des pertes estimées annuellement à plus de 100 milliards de dinars en matière de dégâts matériels et de frais d'assurances. Environ 4000 victimes qui rejoignent les rangs des handicapés sont enregistrées par année. Le durcissement des mesures disciplinaires et les sanctions n'ont jamais été la solution idéale. Qu'est-ce qu'il y a lieu alors de faire devant un tel constat d'échec