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Le Soir du Centre
Le lait est-il rationné au niveau de la laiterie de Draâ-Ben-Khedda ' C'est du moins la certitude chez l'opinion publique locale à Maâtkas où ce produit de large consommation est délivré un jour sur deux, voire trois, si l'on arrive déjà à se le procurer, car aussitôt arrivé, aussitôt vendu.En effet, de longues queues se forment très tôt les matinées au niveau de l'ensemble des supérettes et autres boutiques d'alimentation générale à Souk-El-Khemis comme à Souk-El-Ténine. Des rixes naissent quelquefois même entre citoyens souvent pressés d'avoir leurs parts (2 litres par foyer). Ces quantités sont jugées insignifiantes ici. Il y lieu de rappeler que la contrée est servie par deux distributeurs qui éprouvent toutes les peines du monde à satisfaire la demande, particulièrement en pareille saison (hiver) où la consommation monte d'un cran.Car beaucoup de citoyens ne comprennent toujours pas pourquoi dans les communes limitrophes de Mechtras, Tirmitine, Tizi-Ouzou, cette crise de lait n'est pas ressentie aussi sévèrement que dans ces deux communes de la daïra de Maâtkas où il faut un parcours du combattant pour s'en procurer un litre. Il est utile de signaler que la commune de Maâtkas compte à elle seule plus de 35 000 habitants, il ne faudrait pas, par conséquent, la comparer à d'autres municipalités moins loties en terme de population. Autrement dit, une révision en hausse de la quantité réservée pour cette région est vivement souhaitée surtout par les familles n'ayant pas les moyens d'acquérir le lait non subventionné (en poudre).Amayas IdirUniversité de Tizi-OuzouJournée de protestation des doctorants et magistersUne journée de protestation a été observée, hier lundi, par les étudiants en magister et doctorants devant le rectorat.Ces étudiants qui ont suivi leur cursus au sein de l'université de Tizi-Ouzou, dans le cadre de l'ancien régime (licence), visent à travers leur rassemblement à dénoncer la situation précaire dans laquelle se trouvent certains d'entre eux qui ont le statut d'enseignant vacataire. «Stop à l'exploitation des enseignants vacataires ! Nous sommes formés à l'UMMTO pour y enseigner. Ne dévalorisez pas les magisters et les doctorants», ont été les slogans portés par ces étudiants protestataires qui sont venus exprimer «leur ras-le-bol quant à certaines pratiques malsaines constatées lors de nos participations aux concours de recrutement de maîtres-assistants organisés par l'université de Tizi-Ouzou», dénonçant «l'opacité dans le recrutement et le manque de transparence dans la proclamation des résultats de ces concours». «La surexploitation des vacataires» est, en outre, dénoncé par ces étudiants qui demandent aux autorités rectorales de procéder «àun recrutement massif et prioritaire des magisters et des doctorants issus de l'ancien régime et formés à l'UMMTO». Ils demandent aussi la programmation de deux sessions du concours de recrutement de maîtres-assistants de classe B durant le même exercice budgétaire dont ils exigent l'affichage transparent et détaillé des résultats ; la création de postes budgétaires en fonction des spécialités et ou options ouvertes au sein de l'UMMTO depuis le lancement de la formation post-graduée et limitation des options demandées à celles existantes.S. A. M.TIPASALes pompiers dressent leur bilanLa cellule de communication de la Protection civile de la wilaya de Tipasa vient de rendre public le bilan de ses activités au cours de l'année 2014.A ce titre, il a été révélé que près de 14?000 interventions ont été opérées au cours de l'année 2014. Ces interventions ont porté sur l'évacuation de près de 1?500 personnes blessées et de 12 000 personnes malades ainsi que du transfert de 20 personnes décédées vers les morgues des hôpitaux.Les interventions ont permis de sauver d'une mort certaine 13 personnes dont 2 intoxiquées par le gaz CO2, ainsi que 10 cas d'intoxication par denrées alimentaires et un empoisonnement par médicaments.S'agissant des accidents de la circulation, les pompiers sont intervenus dans près de 3?000 sinistres au cours de 2014, ayant permis le transfert de près de 2 000 blessés, dont 1?300 hommes, 404 femmes et 205 enfants.Le nombre de personnes décédées accidentellement et évacuées vers les hôpitaux est de 30, dont 28 hommes et 2 enfants. Détaillés par nature, ces accidents de la route font état de 300 personnes blessées par heurt de véhicules, dont 7 décédées. Le nombre de personnes victimes d'accidents de la circulation ayant causé des traumatismes porte sur plus de 1 000 blessés et 12 décès.Les collisions, renversements et dérapages de véhicules ont causé des blessures à 592 personnes et le décès d'une personne.Le détail des catastrophes de la circulation routière porte sur 345 blessés et 4 décès sur les axes autoroutiers de Tipasa ainsi que sur 915 blessés et 17 décès sur les routes nationales de Tipasa ; tandis qu'il a été recensé 355 blessés et 6 décès sur les routes de wilaya. Les routes communales quant à elles se distinguent par leur lot de catastrophes où il a été recensé 312 blessés et 3 décès.Le lot des incendies, pour sa part, reste significatif avec 2?635 interventions des pompiers ayant porté sur 399 incendies urbains, 30 incendies industriels et 269 incendies forestiers et agricoles ainsi que 56 incendies de véhicules.Houari LarbiAïn Defla12 dossiers relatifs au crédit Ettahadi approuvés en 2014Douze dossiers relatifs au crédit Ettahadi ont été approuvés dans la wilaya de Aïn Defla durant l'année 2014 au cours de laquelle, ce type de financement est entré en vigueur pour la première fois, a-t-on appris hier auprès de la Direction locale des services agricoles (DSA).Une enveloppe financière de près de 492 millions de dinars a été mobilisée à cet effet, a indiqué la même source, qui signale que ce montant devrait être revu à la hausse pour la même opération durant l'année 2015.Les créneaux d'activité sur lesquels les agriculteurs ont le plus jeté leur dévolu ont trait à l'acquisition du matériel agricole, les entrepèts frigorifiques, les batteries pour poules pondeuses et les véhicules utilitaires, a indiqué la même source.Ces créneaux concernent également la plasticulture, le matériel d'irrigation, la réalisation de forages, l'arboriculture fruitière, l'apiculture, la viticulture, l'acquisition de cheptel caprin ainsi que l'acquisition de semences de pomme de terre, engrais et produits phytosanitaires, a-t-on ajouté.Les agriculteurs de huit communes de la wilaya ont bénéficié de ce crédit en l'occurrence celles de Aïn Defla, Aïn Soltane, Djendel, Aïn Bouyahia, Djellida, Hoceinia, Sidi Lakhdar et Rouina, a-t-on précisé.Octroyé par la Banque d'agriculture et de développement rural (Badr), le crédit Ettahadi est un crédit bonifié visant à augmenter la base productive agricole et, par ricochet, créer davantage d'emplois, a-t-on souligné.Il s'adresse notamment aux jeunes investisseurs qui veulent créer de nouvelles exploitations agricoles et d'élevage sur des terres relevant du domaine privé de l'Etat ou appartenant à des propriétaires privés, a-t-on indiqué, faisant toutefois remarquer que son octroi est tributaire de la présentation d'un acte de concession.(APS):BLIDASEQUESTREE PENDANT DEUX MOISUne femme de 29 ans libérée par la police à BenachourSéquestrée depuis deux mois dans une maison à Benachour, sur le piémont de Blida, une femme âgée de 29 ans vient d'être libérée par les éléments de la 3e Sûreté urbaine. Cette intervention a fait suite à un appel de secours lancé, dimanche dernier à 19h30, par la victime qui leur a fait savoir qu'elle a été enlevée par une personne inconnue. Aussitèt, un renfort de policiers a accouru à sa libération. Elle a été retrouvée cachée dans un local attenant à la maison du ravisseur, lequel était absent ce jour. Une fois secourue, des traces de torture et des sévices corporels étaient visibles sur la victime, ce qui laisse supposer qu'elle avait enduré les pires supplices de la part de son bourreau durant sa séquestration, lequel a déchiré son passeport.Les policiers ne se sont pas arrêtés là mais ont tendu une souricière au kidnappeur qui s'est soldée par son arrestation le jour même. Il était à bord d'une voiture de marque Renault Symbol.En attendant sa présentation devant la justice, l'auteur de l'enlèvement continue de subir l'interrogatoire de la police pour connaître le mobile de cette séquestration.





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