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Le colonel El Habiri supervise un exercice d'intervention


Le colonel El Habiri supervise un exercice d'intervention
Le directeur général de la Protection civile, le colonel Mustapha El Habiri, a supervisé dimanche dans les wilayas de Médéa et Djelfa un exercice national d'intervention se rapportant à un séisme simulé. L'exercice s'est déroulé en présence d'experts étrangers ainsi que de représentants des Nations unies et de l'Organisation internationale de la Protection civile.Le directeur général de la Protection civile, le colonel Mustapha El Habiri, a supervisé dimanche dans les wilayas de Médéa et Djelfa un exercice national d'intervention se rapportant à un séisme simulé. L'exercice s'est déroulé en présence d'experts étrangers ainsi que de représentants des Nations unies et de l'Organisation internationale de la Protection civile.Le colonel El Habiri a, à cette occasion, observé à partir d'un hélicoptère, l'endroit du séisme virtuel de magnitude 6,8 sur l'échelle de Richter dont l'épicentre se situe au sud de la wilaya de Médéa (les régions de Boughzoul et Chahbounia) et au nord de la wilaya de Djelfa (les régions de Aïn Oussera et Sidi Laâdjal), jaugeant le degré de préparation et de coordination des équipes d'intervention de la Protection civile.Il s'est, par la suite, rendu au centre de commandement principal de la Protection civile (situé à proximité de la commune de Boughzoul) où il s'est enquis du déroulement du travailau centre des opérations, doté de cellules d'écoute, dont celles de cartographie, de la santé, des équipements et des moyens d'intervention et de communication basés sur les techniques les plus modernes à l'instar de la visioconférence.6.000 éléments d'intervention de la Protection civile issus de 44 wilayas dont des éléments relevant de l'unité nationale d'entrainement et d'intervention prennent part à cet exercice national intitulé "Seismex 2015", selon le chargé de communication de cette institution, le lieutenant Bernaoui Nassim, qui a fait état de la présence d'experts étrangers ainsi que de représentants des Nations unies et de l'Organisation internationale de la Protection civile pour l'évaluation de l'exercice.Six équipes spécialisées dans les catastrophes naturelles prennent part à l'exercice dont l'équipe de recherche et de sauvetage sous les décombres, l'équipe cynotechnique et l'équipe du groupement aérien et des plongeurs ainsi que l'équipe d'intervention dans les endroits à accès difficile, outre la cellule d'intervention en cas de dangers chimiques ou radioactifs,L'exercice du séisme virtuel a également donné lieu à deux autres exercices, le premier se rapportant à la conduite à tenir en cas d'accident de la route impliquant un bus de voyageurs et un camion-citerne transportant du chlore, alors que le second porte sur une intervention visant à contenir une fuite dans un centre enfûteur de gaz butane à Aïn Oussera.L'objectif de ces manoeuvres, organisées pour la première fois dans l'histoire de la Protection civile algérienne, est d'évaluer le degré de préparation de ses éléments face aux catastrophes naturelles. Ces manoeuvres visent également à mesurer le degré d'adhésion des moyens de soutien dans la stratégie de soutien et de secours au profit de la wilaya touché par une catastrophe naturelle. Un détachement spécialisé dans le secours et le sauvetage de la 1re RM de l'Armée nationale populaire a pris part à cet exercice national.Le colonel El Habiri a, à cette occasion, observé à partir d'un hélicoptère, l'endroit du séisme virtuel de magnitude 6,8 sur l'échelle de Richter dont l'épicentre se situe au sud de la wilaya de Médéa (les régions de Boughzoul et Chahbounia) et au nord de la wilaya de Djelfa (les régions de Aïn Oussera et Sidi Laâdjal), jaugeant le degré de préparation et de coordination des équipes d'intervention de la Protection civile.Il s'est, par la suite, rendu au centre de commandement principal de la Protection civile (situé à proximité de la commune de Boughzoul) où il s'est enquis du déroulement du travailau centre des opérations, doté de cellules d'écoute, dont celles de cartographie, de la santé, des équipements et des moyens d'intervention et de communication basés sur les techniques les plus modernes à l'instar de la visioconférence.6.000 éléments d'intervention de la Protection civile issus de 44 wilayas dont des éléments relevant de l'unité nationale d'entrainement et d'intervention prennent part à cet exercice national intitulé "Seismex 2015", selon le chargé de communication de cette institution, le lieutenant Bernaoui Nassim, qui a fait état de la présence d'experts étrangers ainsi que de représentants des Nations unies et de l'Organisation internationale de la Protection civile pour l'évaluation de l'exercice.Six équipes spécialisées dans les catastrophes naturelles prennent part à l'exercice dont l'équipe de recherche et de sauvetage sous les décombres, l'équipe cynotechnique et l'équipe du groupement aérien et des plongeurs ainsi que l'équipe d'intervention dans les endroits à accès difficile, outre la cellule d'intervention en cas de dangers chimiques ou radioactifs,L'exercice du séisme virtuel a également donné lieu à deux autres exercices, le premier se rapportant à la conduite à tenir en cas d'accident de la route impliquant un bus de voyageurs et un camion-citerne transportant du chlore, alors que le second porte sur une intervention visant à contenir une fuite dans un centre enfûteur de gaz butane à Aïn Oussera.L'objectif de ces manoeuvres, organisées pour la première fois dans l'histoire de la Protection civile algérienne, est d'évaluer le degré de préparation de ses éléments face aux catastrophes naturelles. Ces manoeuvres visent également à mesurer le degré d'adhésion des moyens de soutien dans la stratégie de soutien et de secours au profit de la wilaya touché par une catastrophe naturelle. Un détachement spécialisé dans le secours et le sauvetage de la 1re RM de l'Armée nationale populaire a pris part à cet exercice national.




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