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Faux enlèvements pour vraies fugues




Faux enlèvements pour vraies fugues
Les enlèvements des personnes en Algérie ne sont pas tous de vrais crimes ! Tel est l'avis des services de la Gendarmerie nationale qui ont relevé à travers leurs investigations que les faux rapts ont connu une hausse sérieuse dans notre pays.Les enlèvements des personnes en Algérie ne sont pas tous de vrais crimes ! Tel est l'avis des services de la Gendarmerie nationale qui ont relevé à travers leurs investigations que les faux rapts ont connu une hausse sérieuse dans notre pays.Pour que les choses soient claires, le commandement de la GN a jugé utile d'apporter via un communiqué de presse certaines précisions et vérités sur le phénomène et appelle les médias à traiter avec prudence les affaires supposées être celles d'enlèvements alors qu'en réalité, elles ne sont que des scénarios montés de toute pièce par les fausses victimes.La Gendarmerie nationale souligne que ses services ont traité depuis le début de l'année en cours 11 affaires d'enlèvements de personnes, âgées de un mois à 17 ans, dont quatre d'entre elles se sont avérées de faux-rapts. Les statistiques indiquent en outre l'élucidation de 5 affaires, réelles cette fois-ci, et dont les auteurs présumés ont été présentés devant la justice.La GN indique pour information que l'enlèvement ne peut être considéré comme tel qu'avec la réunion d'un certain nombre de conditions. A commencer par la séquestration d'une ou de plusieurs personnes et leur transfert vers des destinations inconnues, que ce soit avec ou sans violence.Ce qui n'est pas le cas, souligne la GN, dans de nombreuses affaires que ses services ont eu à traiter ces derniers mois et qui se sont avérées en fin de compte de simples fugues ou disparitions volontaires. Car le rapt est toujours motivé par des considérations matérielles comme la demande de rançons ou par un goût de vengeance. C'est dirte que la tendance de ces fausses déclarations commence à prendre de l'ampluer dans notre pays, faussant de ce fait les calculs des services de sécurité qui sont ainsi induits en erreur.La GN constate que plusieurs médias traitent ces cas comme étant des enlèvements alors qu'en réalité, ils n'en n'est rien. Il ne s'agit, poursuit la Gendarmerie nationale, que de fugues de la maison ou des scénarios montés de toute pièce pour fuir les pressions de la famille.Et les exemples à ce sujet ne manquent pas, à l'image de l'affaire des deux filles de Mila, âgées de 16 ans, qui ont quitté leur maison de leur propre volonté pour regagner la ville de Béchar ou du cas d'une fille de 14 ans qui est allée jusqu'à Oran pour voir son père sans en aviser sa maman laquelle a cru à un rapt et a vite alerté la GN. On citera également deux étudiantes de la wilaya de Tizi-Ouzou qui ont mis en place un plan selon lequel, elles ont été enlevées de force pour justifier leur absence prolongée de la maison et d'accomplir tranquillement leurs affaires personnelles.Le même scénario monté par un garçon de 12 ans dans la wilaya de Boumerdès. En dépit de ces fausses pistes, la Gendarmerie nationale assure qu'elle ne ménagera pas ses efforts et ne lésinera pas sur les moyens pour lutter contre les enlèvements. Ses unités restent mobilisées H/24 pour faire face à toute tentative d'enlèvement et son numéro vert, le 10/55, est mis à la disposition des citoyens, appelés par la GN à contribuer dans cette lutte contre les rapts en signalant toutePour que les choses soient claires, le commandement de la GN a jugé utile d'apporter via un communiqué de presse certaines précisions et vérités sur le phénomène et appelle les médias à traiter avec prudence les affaires supposées être celles d'enlèvements alors qu'en réalité, elles ne sont que des scénarios montés de toute pièce par les fausses victimes.La Gendarmerie nationale souligne que ses services ont traité depuis le début de l'année en cours 11 affaires d'enlèvements de personnes, âgées de un mois à 17 ans, dont quatre d'entre elles se sont avérées de faux-rapts. Les statistiques indiquent en outre l'élucidation de 5 affaires, réelles cette fois-ci, et dont les auteurs présumés ont été présentés devant la justice.La GN indique pour information que l'enlèvement ne peut être considéré comme tel qu'avec la réunion d'un certain nombre de conditions. A commencer par la séquestration d'une ou de plusieurs personnes et leur transfert vers des destinations inconnues, que ce soit avec ou sans violence.Ce qui n'est pas le cas, souligne la GN, dans de nombreuses affaires que ses services ont eu à traiter ces derniers mois et qui se sont avérées en fin de compte de simples fugues ou disparitions volontaires. Car le rapt est toujours motivé par des considérations matérielles comme la demande de rançons ou par un goût de vengeance. C'est dirte que la tendance de ces fausses déclarations commence à prendre de l'ampluer dans notre pays, faussant de ce fait les calculs des services de sécurité qui sont ainsi induits en erreur.La GN constate que plusieurs médias traitent ces cas comme étant des enlèvements alors qu'en réalité, ils n'en n'est rien. Il ne s'agit, poursuit la Gendarmerie nationale, que de fugues de la maison ou des scénarios montés de toute pièce pour fuir les pressions de la famille.Et les exemples à ce sujet ne manquent pas, à l'image de l'affaire des deux filles de Mila, âgées de 16 ans, qui ont quitté leur maison de leur propre volonté pour regagner la ville de Béchar ou du cas d'une fille de 14 ans qui est allée jusqu'à Oran pour voir son père sans en aviser sa maman laquelle a cru à un rapt et a vite alerté la GN. On citera également deux étudiantes de la wilaya de Tizi-Ouzou qui ont mis en place un plan selon lequel, elles ont été enlevées de force pour justifier leur absence prolongée de la maison et d'accomplir tranquillement leurs affaires personnelles.Le même scénario monté par un garçon de 12 ans dans la wilaya de Boumerdès. En dépit de ces fausses pistes, la Gendarmerie nationale assure qu'elle ne ménagera pas ses efforts et ne lésinera pas sur les moyens pour lutter contre les enlèvements. Ses unités restent mobilisées H/24 pour faire face à toute tentative d'enlèvement et son numéro vert, le 10/55, est mis à la disposition des citoyens, appelés par la GN à contribuer dans cette lutte contre les rapts en signalant toute


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