EVOCATION Mars 1962- Mars 2015 53 ans après

La période de la proclamation du cessez-le-feu de la guerre d’Algérie est très importante pour tous les patriotes et nationalistes Algériens. C’est au mois de mars 1962, que les accords d’Evian ont étaient conclus validés et signés, et à la même période le groupe des ramassis portants la nationalité Française (Français, Juifs, Espagnols…et traitres Algériens) ont amplifiés leurs attaques criminels contre le peuple Algérien et les Français pacifistes, sous la bannière de l’OAS Organisation de l’Armée Secrète) ou Organisations des Animaux Sauvages, comme on l’ appelée à cette époque. Par la même occasion c’est le mois où certains Algériens aujourd’hui devenus grands responsables politiques et grands patrons, ont pris le train au terminus. Ce ramassis aussi, qui n’a jamais participé à la lutte révolutionnaire, est sortie de son trous, habillé en kaki et portant des brassards avec un écrit FLN ou GPRA, faisant croire au brave peuple qu’ils sont des maquisards, des fédayins, des baroudeurs….Ils se sont rués sur les fermes des collons, et villas des pieds noirs, ils ont ramassé tous ce qu’ils avaient de valeur et se sont installé dans les meilleurs villas et immeubles abandonnés, avant de se faire appeler par Si Flane el 24 et Si Feltane bazooka. Et devenir des pseudos influents.

Mars 1962, s’il pouvait parler, il nous indiquera toute cette pourriture d’imposteurs, il vomira ces opportunistes et leur progéniture. Ils avaient presque tout raflé, pendant que ce brave peuple Algérien, fêtait dans les rues et places publiques, la fin d’une guerre barbare, contre l’humanité, les vrais patriotes étaient occupés encore à faire face et chasser les douze salopards, criminels, dix officiers supérieurs de l’armée française, qui dirigeaient le terrorisme en Algérie :. Raoul Salan, Edmond Jouhaud, Godard,Gardes , Suisini, Perez, Broizat, Château Jobert, Maurice Challe entre outre… Une OAS créée le 11 février 1961, à Madrid, par ses fondateurs, les sinistres Jean Jacques Susini et Pierre La gaillarde. Toutes les techniques du meurtre sont utilisées, du plastic au bazooka ; mais c'est le pistolet américain de calibre 45 qui était l'arme favorite des tueurs dont la plupart sont issus de la Légion Étrangère, comme le grand criminel français, Jacques Mesrine qui était un assassin d’Algériens en Algérie.

Pour l'ensemble de l'Algérie, il y avait environ 3 500 actifs, 100 à 150 tueurs, 1 500 à 2 000 commandos. De mai 1961 au 15 février 1962, l'OAS a assassinée au moins 160 Européens et 190 Algériens dans la seule ville d'Alger. Sur l'ensemble du territoire, elle a perpétré 5 630 opérations contre des personnes ou des biens. Luttant contre les commandos anti-OAS qu'elle dit constitués de Vietnamiens, de Corses, de condamnés à mort FLN et de communistes. Elle estime être au pouvoir en Algérie mieux que l'autorité française D’occupation. Le but qui a été poursuivi est de provoquer le chaos etl'anarchie en Algérie, de tuer tous les cadres Algériens pour obtenir le discrédit et la chute de De Gaulle.

L’OAS soutenu par le Mossad qui a formé des unités de combat au nom de l’Algérie Française, à partir de la ferme agricole à Bou Sfer (Oran), dont le général Edmond Jouhaux (d’origine juive) était le propriétaire, dirigeait le terrorisme en Oranie et appliquer les directive de Salan : « Tout ce que nous devons faire, c'est que chaque Européen tue 9 Musulmans. Alors, nous serons sauvés !

La plupart des Européens et juifs soutiennent l'OAS. A l’exception d’une minorité qui a tellement souhaitée, continuer à vivre paisiblement au coté des Algériens indépendants en Algérie. A cette époque, une majorité de juif se ralliera à l’OAS sur instruction du Mossad, Jean Ghanassia sera le lieutenant et le support du sinistre Joseph Ortiz. Des groupes de juifs à Oran comme à Alger se sont regroupés au sein des ‘’Commandos Colline’’, liés tous aux réseaux ‘’France Résurrection’’ supervisé par Elie Azoulai et Ben Attar, deux juifs devenue plus tard les noyaux du lobby sioniste en France.

Sachant que le général de Gaulle est arrivé au pouvoir en 1958 à la suite d’un coup d’Etat perpétré le 13 mai 1958 avec ses premières déclarations (« Je vous ai compris » le 4 juin 1958 à Alger et « Vive l'Algérie française » le 6 juin à Mostaganem) De Gaulle ne savait pas encore s’il gardait l’Algérie ou la quitter , après avoir pris connaissance de la synthèse d’un rapport secret, élaboré par des stratèges militaires Français, sur la situation des quatre années passées (1954-1958) et les prévisions sur les quatre années à venir, 1958-1962. C’est cette dernière situation à haut risque que la révolution Algérienne frappera le métropole, qui a favorisée l’ouverture d’abord d’un dialogue avec le GPRA (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne) suivis du commencement des négociations qui se sont soldés par les accords d’Evian et l’annonce du cessez-le-feu le 19 mars à midi par le président du GPRA, Benyoucef Benkhedda. Mais De Gaulle, en parallèle à cette politique, avait décidé à partir de 1958 de noyauter l’ALN (Armée de Libération Nationale) en ordonnant aux amis fideles Algériens et familles très dévouées de la cause Française en Algérie, d’incorporer leurs enfants dans les rangs de l’armée Française, pour effectuer une période courte de formation en France avant leur mutation en Algérie dans le but de rejoindre et infiltrer les rangs de l’ALN de l’intérieur. Ce qui a été exécuté mais à un degré moins dans les rangs des politiques. A partir aussi de cette date que les héros de l’ALN commencèrent à disparaître !

Malgré la politique ‘’douce’’ à deux voies du général De Gaulle, la plupart des ministres étaient animés d’un esprit colonialiste, à l’instar de Jacques Soustelle, Robert Lacoste, François Mitterrand…Ils avaient des contacts secrets avec l’Etat Majors des futurs putschistes de l’armée française en Algérie, noyaux de l’OAS.

L’OAS a été fortement soutenue à Alger, par le colonel Godard et Jean-Jacques Susini. Alors que le général Edmond Jouhaud, soutenait et supervisait l’OAS en Oranie. Cette organisation terroriste secrète a agit sous la présidence du général Raoul Salan depuis septembre 1961. Le général Jouhaud provoque une polémique à Oran et pousse les juifs à s’attaquer aux Algériens, le 11 septembre 1961, au quartier Derb des juifs s’attaquaient aux Algériens de passage, suivi d’une bataille rangée entre musulmans et juifs qui s’est soldée par plusieurs blessés et des arrestations arbitraires dans les rangs des