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Cap sur la coopération accrue dans l'élevage bovin et l'agriculture




Cap sur la coopération accrue dans l'élevage bovin et l'agriculture
« Il s'agit de transmettre le savoir-faire et la technologie aux partenaires, agriculteurs et fermiers algériens sur le long terme. Nous attendons les produits agricoles algériens sur le marché autrichien », a notamment déclaré l'ambassadrice d'Autriche à Alger, Aloisia Woergetter, lors d'une journée d'information consacrée essentiellement à la coopération et au partenariat stratégique entre la région de Khenchela et Tyrol, en Autriche.« Il s'agit de transmettre le savoir-faire et la technologie aux partenaires, agriculteurs et fermiers algériens sur le long terme. Nous attendons les produits agricoles algériens sur le marché autrichien », a notamment déclaré l'ambassadrice d'Autriche à Alger, Aloisia Woergetter, lors d'une journée d'information consacrée essentiellement à la coopération et au partenariat stratégique entre la région de Khenchela et Tyrol, en Autriche.La diplomate a beaucoup apprécié les produits agricoles bios algériens, en ce sens qu'elle recommande le miel de Khenchela qui a réussi une percée fulgurante sur le marché autrichien, précisant que « des opérateurs économiques de Khenchela ont pénétré le marché autrichien en commercialisant le miel de Cherchar de très bonne qualité, mais également les figues de barbarie qui sont appréciés par les consommateurs autrichiens ».En effet, un consortium autrichien a évalué les potentialités algériennes en y décelant la qualité des produits dont l'objectif essentiel consiste à accompagner l'Algérie pour se redéployer sur les métiers de base et l'intelligence économique, a indiqué pour sa part, Boukhalfa Khemnou, directeur général de l'agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex).Le directeur régional pour l'Europe centrale et orientale de la Chambre fédérale autrichienne de l'Economie, Christian Gessl, a souligné que l'important consiste à intensifier la coopération entre l'Autriche et l'Algérie en encourageant les exportations hors hydrocarbures. Afin de pénétrer le marché africain, il préconise un travail de partenariat avec l'Algex pour l'aider à explorer le marché de certains pays d'Afrique.« Nous avons identifié les produits agroalimentaires et il existe un projet pilote pour la transformation des figues de barbarie en y extrayant du vinaigre et en produisant des marmelades. Le miel et les dattes fraîches peuvent également constituer un créneau appréciable tout en restant dans la qualité des produits bio », a-t-il dit. Il a indiqué qu'il a invité des partenaires algériens en Autriche pour assister à un séminaire qui verra la participation de 800 personnes provenant de l'Europe centrale et orientale concernant les produits alimentaires, la certification et l'emballage.En matière d'agriculture, il existe un projet d'investissement algéroautrichien dont les négociations sont en cours, selon Woergetter, laquelle a indiqué que la région de Khenchela et de Tyrol font finaliser une activité importante dans le domaine de l'élevage extensif et intensif de bovins, tant la vache grise autrichienne est très connue pour son rendement appréciable en lait. Il s'agit, donc, d'un projet d'envergure de développement rural entre les deux parties qui sont déjà à un stade avancé de coopération et de partenariat concernant le transfert de savoir-faire et de technologie.Par ailleurs, 11 stagiaires et jeunes agriculteurs étudiants algériens suivront un cycle de formation en Autriche pour apprendre les meilleures pratiques d'élevage des vaches. Aussi, le ministre de l'Agriculture et du développement rural, Abdelwahab Nouri, effectuera prochainement une visite en Autriche afin de s'imprégner des méthodes modernes de production agricole.Quant à Josef Mayer, fermier connu de Tyrol, il a mis l'accent sur la qualité de jumelage entre les agriculteurs de Khenchela et de Tyrol en insistant sur le type de nourriture, les aliments de bétail et l'eau à donner aux vaches pour un meilleur rendement en lait, en ce sens qu'une vache autrichienne peut donner 6 000 litres de lait par an pour produire la gruyère, le camembert et d'autres fromages de montagnes plus dur et avec un goût particulier.La diplomate a beaucoup apprécié les produits agricoles bios algériens, en ce sens qu'elle recommande le miel de Khenchela qui a réussi une percée fulgurante sur le marché autrichien, précisant que « des opérateurs économiques de Khenchela ont pénétré le marché autrichien en commercialisant le miel de Cherchar de très bonne qualité, mais également les figues de barbarie qui sont appréciés par les consommateurs autrichiens ».En effet, un consortium autrichien a évalué les potentialités algériennes en y décelant la qualité des produits dont l'objectif essentiel consiste à accompagner l'Algérie pour se redéployer sur les métiers de base et l'intelligence économique, a indiqué pour sa part, Boukhalfa Khemnou, directeur général de l'agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex).Le directeur régional pour l'Europe centrale et orientale de la Chambre fédérale autrichienne de l'Economie, Christian Gessl, a souligné que l'important consiste à intensifier la coopération entre l'Autriche et l'Algérie en encourageant les exportations hors hydrocarbures. Afin de pénétrer le marché africain, il préconise un travail de partenariat avec l'Algex pour l'aider à explorer le marché de certains pays d'Afrique.« Nous avons identifié les produits agroalimentaires et il existe un projet pilote pour la transformation des figues de barbarie en y extrayant du vinaigre et en produisant des marmelades. Le miel et les dattes fraîches peuvent également constituer un créneau appréciable tout en restant dans la qualité des produits bio », a-t-il dit. Il a indiqué qu'il a invité des partenaires algériens en Autriche pour assister à un séminaire qui verra la participation de 800 personnes provenant de l'Europe centrale et orientale concernant les produits alimentaires, la certification et l'emballage.En matière d'agriculture, il existe un projet d'investissement algéroautrichien dont les négociations sont en cours, selon Woergetter, laquelle a indiqué que la région de Khenchela et de Tyrol font finaliser une activité importante dans le domaine de l'élevage extensif et intensif de bovins, tant la vache grise autrichienne est très connue pour son rendement appréciable en lait. Il s'agit, donc, d'un projet d'envergure de développement rural entre les deux parties qui sont déjà à un stade avancé de coopération et de partenariat concernant le transfert de savoir-faire et de technologie.Par ailleurs, 11 stagiaires et jeunes agriculteurs étudiants algériens suivront un cycle de formation en Autriche pour apprendre les meilleures pratiques d'élevage des vaches. Aussi, le ministre de l'Agriculture et du développement rural, Abdelwahab Nouri, effectuera prochainement une visite en Autriche afin de s'imprégner des méthodes modernes de production agricole.Quant à Josef Mayer, fermier connu de Tyrol, il a mis l'accent sur la qualité de jumelage entre les agriculteurs de Khenchela et de Tyrol en insistant sur le type de nourriture, les aliments de bétail et l'eau à donner aux vaches pour un meilleur rendement en lait, en ce sens qu'une vache autrichienne peut donner 6 000 litres de lait par an pour produire la gruyère, le camembert et d'autres fromages de montagnes plus dur et avec un goût particulier.



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