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BRÈVES du Centre
Fièvre aphteuse : Aucun cas n'a été signalé à GhardaïaSelon le wali, M. Abelhakim Chater, depuis l'apparition de la fièvre aphteuse, aucun cas n'a été signalé ou suspect compte tenu du fait que Ghardaïa représente un bassin laitier important et que tous les éleveurs de bovins sont agréés. Néanmoins, les autorités locales et les services concernés auraient tout de même pris les devants afin de prémunir le cheptel local. En effet, selonM. Ketila Ishak, vétérinaire au niveau des services agricoles de la wilaya de Ghardaïa, des mesures préventives ont été prises à travers deux compagnes de vaccination, entre janvier et juin 2014, qui ont permis de vacciner pas moins de 2 990 vaches soit 95% du cheptel de la wilaya. Et ce, pour parer à toute éventualité à la faveur d'un arrêté du wali qui s'apparente à de fermes instructions. Ainsi, en parallèle à la constitution d'une cellule de crise, composée des représentants de tous les services concernés, ces derniers devront veiller à la stricte application des arrêtés et des instructions du wali, à savoir : la fermeture des frontières au cheptel bovin provenant des wilayas avoisinantes, la fermeture des marchés hebdomadaires à l'intérieur de la wilaya et l'interdiction de tout déplacement de cheptel, sauf en direction de l'abattoir, en l'absence d'un certificat sanitaire dument fourni par les services sanitaires. A ce titre, les éleveurs qui ne respectent pas ces instructions sont passibles d'amendes et de poursuites judiciaires. Les services vétérinaires de la wilaya continuent d'entamer des campagnes de prospection durant tous les jours de la semaine, afin de découvrir tout éventuel cheptel non vacciné. Par ailleurs, d'autres mesures préventives sous forme de conseils ont été prises et les éleveurs sont tenu de les respecter : "Les éleveurs de bovins devront prendre des mesures d'hygiène très strictes, afin d'éviter toute éventuelle contamination. Dans le cas d'apparition d'un cas suspect, l'éleveur est tenu de le signaler aussitôt aux services vétérinaires de sa commune".Aissa HADJ DAOUDEL-KHEMIS MILIANA (AIN DEFLA): Le marché aux poissons transformé en dépotoir de viscèresLe marché quotidien aux poissons qui se trouve en plein centre-ville est devenu ces derniers temps un véritable dépotoir des viscères en tout genre. Ce marché a complètement défiguré l'aspect environnemental de la ville, par les odeurs nauséabondes ainsi que la prolifération en masse des moustiques et rongeurs, indiquent notre source. Les citoyens et les représentants des associations culturelles ont interpellé, vendredi, les pouvoirs publics pour obliger les vendeurs de poisson à faire le ménage dans leur point de vente. Il faut noter que les citoyens habitant des immeubles situés à proximité dudit marché sont obligés de fermer leurs fenêtres au quotidien, dans le souci d'éviter les piqûres de moustique et autres désagréments liés aux odeurs insupportables.B. BOUZARNomAdresse email





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