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Bréves de l'Est
KHENCHELA : Les villageois bloquent la RN83 Des dizaines de familles qui habitent dans plusieurs villages et hameaux relevant de la commune de N'sigha, au sud de la ville de Khenchela, sont montées au créneau pour dénoncer l'indifférence affichée par les autorités locales quant à leur doléance. En effet, les habitants de cette localité ont procédé, avant-hier, à la fermeture de la RN 83 reliant Khenchela à la wilaya de Biskra, à l'aide des pierres. L'origine de cette colère est le problème du manque d'eau potable depuis quelques semaines déjà ! Selon les protestataires, des requêtes ont été adressées à tous les responsables concernés, mais aucun d'eux n'a donné suite à leur doléance. Un important dispositif sécuritaire a été déployé sur les lieux en vue de rouvrir la route qui a été fermée durant plusieurs heures.M. Z.TEBESSA : L'eau coule dans les robinets du CEM Hadji-Mohamed-Saddek Après une longue absence, qui a duré pratiquement trois années successives, l'eau enfin a coulé avant-hier dans les robinets du CEM Hadji-Mohamed-Saddek situé dans la zone sud de la ville de Tébessa, l'histoire de cette longue coupure d'eau est due selon de sources concordantes au piquage illicite et au détournement de la vanne principale qui alimente le collège. Ce sont des individus sans scrupules qui imposent ainsi leur diktat aux simples citoyens et privent d'eau plus de 550 élèves A chaque fois que les services de l'Algérienne des eaux tentent d'intervenir pour rétablir le réseau, ils rencontrent des difficultés. Des habitants leur interdisent l'accès sous la menace d'armes blanches et de pierres. Il y a eu même des altercations sanglantes entre les intervenants et des jeunes manipulés par des forces occultes qui sévissent dans les parages.Malgré cette situation angoissante qui a duré trois ans où l'alimentation en eau potable est assurée par citerne, les autorités concernées ont décidé de rétablir définitivement le réseau d'eau potable qui alimente surtout l'établissement scolaire précité afin de sauver des centaines d'élèves en quête d'une gorgée d'eau potable surtout durant ces jours caniculaires que connaît la région ou la température oscille entre 35 et 40 degrés à l'ombre.Hafid MaalemBORDJ BOU-ARRERIDJ : Ouverture de deux nouvelles brigades de gendarmerie Le déploiement des gendarmes dans les localités enclavées se poursuit à Bordj Bou-Arréridj. En effet, deux nouvelles brigades ont été inaugurées par le général Bahlouli Amar, dimanche l'une dans la commune d'El Colla, à une vingtaine de kilomètres au nord du chef-lieu de la wilaya de Bordj Bou-Arréridj et l'autre dans la commune de Aïn Taghrout, à l'est de la wilaya.Cette mise en service permettra à la Gendarmerie nationale d'augmenter sa couverture sécuritaire du territoire de la wilaya de Bordj Bou-Arréridj.Chabane BOUARISSAEL-TARF : Flambée des fruits et légumes Une nouvelle flambée des prix des fruits et légumes a été enregistrée ces derniers jours au niveau des marchés hebdomadaires. Une flambée qui intervient à quelques jours de la fête de l'Aïd El-Adha. L'époque des paniers débordant de fruits et de légumes semble désormais révolue. Le consommateur arrive à peine à acheter quelques légumes incontournables dans la préparation d'un repas. La majorité des produits alimentaires connaissent une flambée des prix assez conséquente. La majorité des commerçants ont doublé les prix en moins d'une semaine. Sur les étals, la courgette coûte 100 DA le kg, la laitue et la tomate s'affichent entre 80 et 120 DA le kg, le poivron est cédé à 80 DA le kg et la pomme de terre à 80 DA. Le raisin et la banane sont vendus à 200 DA, alors qu'ils étaient à 160 DA le kilogramme il y a une semaine. Même la pomme de terre, plat du jour du pauvre est à 70 DA. Le poulet a aussi grimpé en flèche, il est à 280 DA le kilogramme. Les consommateurs ont constaté qu'à chaque fête religieuse, les commerçants sans foi ni loi les déplument en procédant à des augmentations de prix de leurs marchandisesTAHAR B.OUM EL-BOUAGHI : Le mouton de l'Aïd moins cher que l'année passée Dès l'ouverture des marchés aux bestiaux, à partir du 12 septembre, c'est l'offre qui dépasse largement la demande. Ceci a eu son effet direct sur les prix pour plusieurs raisons, d'abord la longue période de fermeture des marchés (du 3 août au 12 septembre), la présence des nomades qui possèdent d'importants cheptels et la crainte qu'on eu les maquignons suite à la maladie de la fièvre aphteuse ayant touché des bovins dans certaines régions. Comparativement à l'année passée, à la même occasion, une baisse est enregistrée allant de 5 000 à 7 000 DA par tête. Les prix varient entre 20 000 et 60 000 DA, c'est-à-dire que le meilleur sur le marché ne dépasse, en aucun cas, les 60 000 DA, ce qui explique la possibilité pour les petites bourses d'acheter ce qu'elles veulent et d'avoir une variété de choix.B. NACERNomAdresse email



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