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Biskra au rythme du 3e festival culturel Rahab-Tahar de poésie populaire de Lioua



Biskra au rythme du 3e festival culturel Rahab-Tahar de poésie populaire de Lioua
Des récitals de poésie populaire ont marqué l'ouverture, mardi à la maison de jeunes de la commune de Lioua (Biskra), de la 3ème édition du festival culturel de poésie populaire "Rahab-Tahar".D'illustres poètes du Melhoun, parmi lesquels Bachir Kedhifa, Abdelhafid Abdelghafar, Abdelkader Atoui, Othmane Saïbi et Abdelkader Arabi ont déclamé leurs textes avec une emphase et une éloquence qui ont ravi le nombreux public présent.Des poètes arabes dont Mohamed Bayazid (Syrie), Khira Bent Youcef Abassia (Tunisie) et Najam Saïd Ghala (République arabe sahraouie démocratique) participeront au festival, a indiqué à l'APS Abdelhalim Guettaf, coordinateur général de la manifestation.Une exhibition en plein air de troupes folkloriques locales qui ont exécuté des danses populaires sur les mélodieuses sonorités de gasba et de bendir, ainsi qu'une fantasia, ont plongé le public dans une ambiance de grande fête populaire.Une attestation d'honneur a été remise, lors de l'ouverture, à Salem, fils du défunt artiste Rahab Tahar (1917-1999) en hommage aux efforts consentis par son père au service de l'art durant le XXème siècle en Algérie.Une exposition de produits artisanaux, réalisés par des femmes, a été organisée à cette occasion, en plus d'une randonnée à travers les oasis de Lioua en l'honneur des hôtes de la wilaya de Biskra.Les activités organisées au titre de ce festival, initié par l'association des activités culturelles et de jeunes de la commune de Lioua, se poursuivront durant trois jours.


REHAB Tahar était un grand artiste. Il avait interpreté certaines chansons qui demeurent de nos jours dans les memoires de la génération du troisième age, la seule qui reste des fans qui ont connu ce grand homme. On oubliera jamais cette chanson (ya rabi ya khalki) qui faisait pleurer nos mères et particulèrement celles ayant des proches vivant dans la ghorba.Il avait une voix mélodieuse qui ne pouvait- laisser insensible les amateurs de la gasba et de eyei. toutes les chansons qu'il avait interpreté sont de son oeuvre personnelle sur le plan de la parole. Il avait laissé une riche patrimoine de chanson d'une valeure excedptinnelle qu'on arrive plus à retrouver. Il maitrisait parfaitement l'arabe et avait de ce fait était l'animateur d'une émission sur la radio sur le chi ere el malhoun que avait une grande écoute. Un artiste de cette envergure ne devait pas être oublié avec une telle indifférence.Je ne suis ni proche à lui ni son parent mais un feru du style qu'il a développé sans Les instances chargées de la préservation du patrimoine culturel doivent consacrer un peu d'intéret
Aoun Moidjebri - commercant - Alger, Algérie

26/05/2016 - 299722

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