Algérie - 02- Origines

Bibliographie et localisation des saints religieux de la ville de Mostaganem


Bibliographie et localisation des saints religieux de la ville de Mostaganem
Bibliographie et localisation des saints
religieux de la ville de Mostaganem

Le Saint Sidi Mohamed Benhaoua :
Il a vécu au 12ème siècle de l’hégire, sa
coupole est entourée d’un cimetière qui
se voit sur les hauteurs d’El Djenene
(Debdaba) à la sortie de la ville de
Mostaganem en allant vers Relizane.
Sidi Mohamed BENHAOUA était un
vaillant poète et un grand savant en
matière de religion. Ce lieu était auparavant
une Zaouïa dans laquelle est né
et vécu, le poète Sidi Mohamed Benhaoua,
il a laissé après sa mort beaucoup
de documents écrits dans El Fekh
El Islam et il a été reconnu par son
poème ( Sebikat Enassiane ) ainsi que
d’autre poésies parmi elles ( El Ghaoutia-
El Kobra ) qui porte 400 versets.

Le Saint Sidi Nacer :
Sa coupole se trouve au village d’El
Hchem à 02 Km du chef lieu de Mostaganem
Le saint Sidi Said El Bouzidi:
Sa tombe se trouve près de la mairie de
Mostaganem à droite des marchés y
amenant à partir du bas du jardin public.
On dit qu’il est l’un des élèves de
Sidi Ahmed Benyoucef décédé à Miliana
et il est se dit aussi que Sidi Said était
présent à la signature du traité entre les
Turcs et le roi du Maroc Moulay Smail
après sa défaite à Saf Saf et oued de
Djediouia. Il a vécu au début du 16ème
siècle. Le Saint Sidi Said étudiait et priait
Dieu dans le jardin public actuel qui
portait anciennement comme nom
Djninet Bent Raye et il est considéré
comme le saint patron de la ville de
Mostaganem. Il est visité par les passants
et voyageurs surtout lors des fêtes
du Mawlid Ennabaoui pendant tout le
mois.

Le Saint Sidi Abdalah :
11ème siècle de l’hégire Il est connu
sous le nom de Sidi Abdallah Boukabrine
pour le motif qu’il existe une
tombe au quartier d’El Matmore élevée
d’une coupole et une autre tombe à Enaro
à quelques kilomètres de Mostaganem,
il a vécu au 11ème siècle de l’hégire
correspondant au 16ème siècle
chrétien. Il a laissé après sa mort beaucoup
d’enfants à Mostaganem et il est le
grand père du cheikh Ali Senouci le fondateur
de la méthode Senoucia en Libye.


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