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Aïn Beida
Les apparences sont souvent trompeuses comme on dit. A Aïn Beida, les quatre entrées de la ville sont agrémentées de lampadaires distillant une douce et prodigieuse lumière. Ainsi, le voyageur qui vient de Tébessa, c'est à dire de l'Est, de Constantine (Ouest), de Khenchela (Sud-Ouest) ou de Guelma (Nord), doit certainement apprécier la luminosité des lieux, depuis l'entrée de l'agglomération jusqu'à un certain point.Ceci dit, l'éclairage devient blafard, déficient et lacunaire dès que le visiteur pénètre le centre-ville. Les avenues qui souffrent le plus de la défaillance de l'éclairage public sont celles du 1er Novembre et de Abbès Laghrour. Ici, même si des lampadaires existent, la lumière qu'ils prodiguent est blafarde à cause de l'épais feuillage des arbres bordant les trottoirs. Ailleurs, les réverbères vénitiens sont démantelés pour être remplacés par d'autres, sans que l'éclairage suive.Dans les quartiers périphériques, les lampes grillées ne sont pas remplacées par les services habilités. Il suffit de faire un tour dans les quartiers anciens et nouveaux de la cité pour s'en convaincre : l'éclairage est défaillant et des rues sont entièrement plongées dans le noir quand la lueur de la lune ne vient pas à la rescousse des passants regagnant leurs domiciles.



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