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8.000 postes promis pour le Sud



8.000 postes promis pour le Sud
Pour répondre à la forte demande, Sonatrach ne compte pas seulement sur le recrutement pour des postes « qualifiés » mais compte intégrer la formation au profit des nouvelles recrues à travers ses centres de formation internes.Pour répondre à la forte demande, Sonatrach ne compte pas seulement sur le recrutement pour des postes « qualifiés » mais compte intégrer la formation au profit des nouvelles recrues à travers ses centres de formation internes.Le groupe pétrolier public Sonatrach reste pour l'heure l'un des groupes qui assure le plus de création d'emplois en Algérie. Sonatrach mène des actions citoyennes dans le sud du pays où elle compte recruter 8000 jeunes entre techniciens et ingénieurs. Du jamais vu depuis des années. La compagnie publique des hydrocarbures laisse entrevoir un plan qui permettrait d'absorber le plus de chômeurs dans la région. Les associations de chômeurs qui activent dans le Sud ont eu raison de se faire entendre. Ils auront donc l'opportunité de se faire recruter dans les principales structures de la compagnie qui opère dans le Grand-Sud.C'est le directeur exécutif des ressources humaines de Sonatrach, Younes Haghoug, qui en a fait la déclaration tout récemment en indiquant que « le groupe va créer pour l'exercice de cette année 8.000 emplois entre ingénieurs et techniciens ». Les besoins pour le groupe sont énormes dans une région qui a un potentiel de ressources parmi les jeunes en chômage. Pour ce faire, le groupe ne compte pas seulement sur le recrutement pour des postes « qualifiés » mais va intégrer la formation au profit des nouvelles recrues à travers ces centres de formation interne.« Nous réservons au préalable de leur recrutement, une formation pour 3.000 ingénieurs et 5.000 techniciens dans le cadre des projets d'investissements de Sonatrach ». C'est donc une bouffée d'oxygène pour des milliers de chômeurs qui languissaient sans perspectives. Souvent des jeunes sont recrutés pour des postes subalternes comme chauffeurs ou agents de sécurité, ce qui a fait réagir de multiples voix contestataires pour dénoncer cette dérive de certaines entreprises dans le Sud.Cela étant, la compagnie publique a pris ces décisions après avoir constaté la tournure fâcheuse que prennent certains évènements dans des villes comme In-Salah, Ouargla ou Tamanrasset. La Coordination nationale pour la défense des droits de chômeurs (CNDDC) qui a vu son action s'étendre depuis deux ans dans les villes principales citées plus haut, va certainement réagir à l'action que compte inscrire Sonatrach. D'autant que le plan gouvernemental est scruté par les jeunes chômeurs qui ont transmis dernièrement leurs doléances au Premier ministre concernant l'emploi dans le Sud.Rappelons que le Premier ministre a tenu à rassurer au terme de sa dernière visite au Sud la population juvénile et surtout les diplômés aux instructions fermes données aux entreprises publiques à créer autant d'opportunités d'emplois pour leurs propres besoins.Même les entreprises privées ont été invitées à contribuer dans cet élan en contrepartie de facilités et déductions fiscales si elles recruteraient les chômeurs. En attendant, un coup d'accélérateur a été donné dès le début de cette année pour obliger tous les opérateurs quel que soit leur statut à recruter directement par l'intermédiaire de l'Anem qui reste l'unique agence qui a la prérogative de placements des recrutements.Le groupe pétrolier public Sonatrach reste pour l'heure l'un des groupes qui assure le plus de création d'emplois en Algérie. Sonatrach mène des actions citoyennes dans le sud du pays où elle compte recruter 8000 jeunes entre techniciens et ingénieurs. Du jamais vu depuis des années. La compagnie publique des hydrocarbures laisse entrevoir un plan qui permettrait d'absorber le plus de chômeurs dans la région. Les associations de chômeurs qui activent dans le Sud ont eu raison de se faire entendre. Ils auront donc l'opportunité de se faire recruter dans les principales structures de la compagnie qui opère dans le Grand-Sud.C'est le directeur exécutif des ressources humaines de Sonatrach, Younes Haghoug, qui en a fait la déclaration tout récemment en indiquant que « le groupe va créer pour l'exercice de cette année 8.000 emplois entre ingénieurs et techniciens ». Les besoins pour le groupe sont énormes dans une région qui a un potentiel de ressources parmi les jeunes en chômage. Pour ce faire, le groupe ne compte pas seulement sur le recrutement pour des postes « qualifiés » mais va intégrer la formation au profit des nouvelles recrues à travers ces centres de formation interne.« Nous réservons au préalable de leur recrutement, une formation pour 3.000 ingénieurs et 5.000 techniciens dans le cadre des projets d'investissements de Sonatrach ». C'est donc une bouffée d'oxygène pour des milliers de chômeurs qui languissaient sans perspectives. Souvent des jeunes sont recrutés pour des postes subalternes comme chauffeurs ou agents de sécurité, ce qui a fait réagir de multiples voix contestataires pour dénoncer cette dérive de certaines entreprises dans le Sud.Cela étant, la compagnie publique a pris ces décisions après avoir constaté la tournure fâcheuse que prennent certains évènements dans des villes comme In-Salah, Ouargla ou Tamanrasset. La Coordination nationale pour la défense des droits de chômeurs (CNDDC) qui a vu son action s'étendre depuis deux ans dans les villes principales citées plus haut, va certainement réagir à l'action que compte inscrire Sonatrach. D'autant que le plan gouvernemental est scruté par les jeunes chômeurs qui ont transmis dernièrement leurs doléances au Premier ministre concernant l'emploi dans le Sud.Rappelons que le Premier ministre a tenu à rassurer au terme de sa dernière visite au Sud la population juvénile et surtout les diplômés aux instructions fermes données aux entreprises publiques à créer autant d'opportunités d'emplois pour leurs propres besoins.Même les entreprises privées ont été invitées à contribuer dans cet élan en contrepartie de facilités et déductions fiscales si elles recruteraient les chômeurs. En attendant, un coup d'accélérateur a été donné dès le début de cette année pour obliger tous les opérateurs quel que soit leur statut à recruter directement par l'intermédiaire de l'Anem qui reste l'unique agence qui a la prérogative de placements des recrutements.


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